La densité de construction décrit le rapport entre la surface de plancher (ou le volume de construction) et la surface de la parcelle.
La densité de construction est définie dans le règlement des constructions au moyen de l’indice d’utilisation (IU) ou de l’indice de masse (IM). Indirectement, l’indice d’occupation (IO) ou l’indice de verdure (IVer) ainsi que les dispositions relatives à la hauteur et à la distance des bâtiments peuvent également définir la mesure de la densité de construction.
Les réserves de surface de plancher et le degré d’aménagement peuvent également être utilisés comme indicateurs.
EFH est l’abréviation allemande de Einfamilienhaus (maison individuelle). Elle est également utilisée dans des compositions de mots, telles que EFH-Quartier (quartier de maisons individuelles) ou EFH-Bewohner·in (habitant·e d’une maison individuelle). L’abréviation correspond en français au terme villa.
L’ensemble des réserves qui peuvent être utilisées pour réaliser un projet MétamorpHouse: Réserves à bâtir, Réserves à transformer et Réserves à habiter.
Les réserves à bâtir correspondent au bilan entre les surfaces (ou les volumes) qui peuvent être construites selon le règlement des constructions et les surfaces (ou les volumes) qui sont effectivement construites.
L’ampleur des réserves à bâtir est généralement importante pour les parcelles construites avant les années 1990.
Les réserves à bâtir sont également appelées réserves de surface de plancher.
Les réserves à bâtir sont des indicateurs de la densité de construction.
Les réserves à habiter désignent les surfaces et pièces d’habitation rarement utilisées dont les propriétaires seraient prêts à se séparer pour faire de la place à un logement supplémentaire.
Par exemple, lorsque des habitants âgés n’occupent plus que le rez-de-chaussée de leur maison individuelle, l’étage supérieur constitue une réserve à habiter qui pourrait être utilisée pour aménager une habitation supplémentaire.
Les réserves à transformer désignent des surfaces ou des volumes construits, non habitables, mais imputables selon le règlement des constructions, qui peuvent être transformés en surfaces habitables. Par exemple, un grenier qui est transformé en logement.
La surface de référence énergétique (SRE) est la somme de toutes les surfaces situées à l’intérieur de l’enveloppe thermique et dont l’utilisation nécessite un chauffage. En font partie toutes les pièces d’habitation (salon, salle à manger, cuisine, chambre à coucher, salles de loisirs et de bricolage), mais aussi les cages d’escalier et les couloirs.
Les locaux non chauffés tels que les buanderies, les chaufferies et les salles des machines, ainsi que les garages et les caves ne sont pas pris en compte.
La surface de référence énergétique par personne est calculée en divisant la surface de référence énergétique de la maison par le nombre de ses habitants.
Plus le nombre d’habitants d’une maison individuelle est élevé, plus la surface de référence énergétique par personne est faible. C’est pourquoi il vaut la peine d’ajouter – dans les maisons individuelles sous-occupées – un ou plusieurs appartements pour des habitants supplémentaires. La rénovation d’une maison individuelle devrait idéalement améliorer l’efficacité énergétique du bâtiment et réduire la surface de référence énergétique par personne.
En divisant la surface chauffée par le nombre d’habitant, on obtient la Surface habitable par personne. Dans une villa habitée par deux personnes, cette surface est très importante. Si on souhaite améliorer l’efficacité énergétique d’un bâtiment, il faut diminuer cette surface et isoler la maison.
La surface habitable par personne est calculée en divisant la surface du logement par le nombre de ses occupants.
La surface du logement est la surface habitable (chauffée) en mètres carrés. Les caves et les greniers ne sont pas pris en compte dans le calcul.
Partenaires
Cette page thématique est en préparation, repassez nous voir dans quelques temps !